Sentiment étrange et par moment lancinant.
L’absence, le manque.
C’est donc le seul et l’unique que j’aime et ce même en changeant.
Sentiment permanent.
Et pourtant...
C’est le caractère unique de notre lien qui nous en a mené à là.
Ai je changé ?
Oui. Enfin. Devenir soi est ce changer ?
Complètement ?
Non...la défense est plutôt coriace mais elle s’estompe plus vite, me livrant à moi même.
La solitude c’est le plus dur.
L’absence.
Le sursis.
L’ignorance.
Mais c’est surmontable.
Puis surtout il le faut… il le faut.
Pourquoi a t’il agi ainsi ? Est ce qu’il devine tout ? Est ce autre chose ?
J’aimerai tant le savoir et je veux tant ne pas le savoir.
Il faudra du temps
Mais je n’ai pas à me plaindre
C’est mieux que ce que je craignais
Maintenant il faut s’y tenir qu’importe cette peur lancinante
Le cynisme
Cela fait peur aux gens ?
]]>Mon inconscient est un putain de traitre : vlan tu sais pas en parler depuis tout ce temps ? PAF vas y que tu l’écris dans ton rp -_-" nigaud d’inconscient, expliquer c’est bien mais il y a des détails qu’on se passerait bien
Evidemment que pour mon perso c’était démesuré
Puis tfaçon y penser c’est pas… grave
C’est normal
On change pas en peu de temps
"Mais ça fait mal quand même"
Mais c’est passager
"Faut pas oublier que la douleur psychologique fait réellement mal comme une blessure physique"
Je sais mais osef
J’voulais pas écrire ça
Du coup je me suis grillé
Drôle de chose l’inconscient
Tfaçon je sais bien que ce ne sont que des pensées parasites
J’ai trop de trucs qui me retiennent au sol
Et genre là now
J’y pense pas du tout
Bref ce tri d’un siècle…
]]>
Il reste à attendre la réaction de notre ami
Mais ce qu’on a fait ce soir ensemble
C’est grand
J’espère que ça lui a fait autant de bien qu’à moi
Bonne nuit mon frère
Celle-ci sera belle
Alors là.
Waow o_o
Fin de soirée positive
Il a eut l’idée qu’on fasse un cadeau pour le troisième
Un cadeau..Je te dis même pas Martin mais c’est une idée vraiment bien, je n’y aurais pas pensé.
Bref positif
x)
Je suis content de cette journée
]]>En plus j’ai envie de vomir depuis le réveil
Yeah
Osef j’emmerde Murphy j’emmerde les problèmes
Jsuis en mode Super Sayen faut pas m’énerver
]]>Juste note à moi même de tenir mes principes à moi.
Le plus ancien.
Et rassembler toute l’énergie.
Que je ne saurais perdre en écrivant.
]]>Foutaises
Ok je sais que s’il ne s’aide pas ça ira pas
Je le sais
J’suis pas débile non plus
Mais si on l’aide pas
Il s’en sortira pas non plus
Bref cette "faiblesse" d’avoir cherché des conseils de personnes plus expérimentées me laisse un sentiment amer
Comme s’ils s’en fichaient de ceux qui en ont marre
Pourtant c’est le mal du siècle
Et comme je dis j’en suis à peine sorti et les pensées m’hantent toujours
A chaque fois que j’attends le train. Chaque fois. Je me vois être percuté/trainé par ce dernier.
A la fin ça me fait plus rien si ce n’est cet acquis de conscience d’en rester distant tant qu’il envahi pas le quai.
Souvent je m’imagine être renversé.
Encore taleur en rentrant à pied une voiture m’a surpris bien qu’elle n’allait pas tourner dans ma direction.
Et je me suis imaginer voler etc
Constamment
Et pourtant je n’ai plus envie de mourir moi
Alors je comprends pas ces gens qui ne comprennent pas cette détresse qu’on peut ressentir
A l’âge maudit je parcourais toujours mon répertoire gsm, à la recherche de qq à qui parler.
Y avait de la famille, des amis.
Mais aucun numéro ne me parlais
Alors je laissais tomber
Je crois que c’est de là que j’ai peu à peu abandonné de recharger etc ce dernier
S’il est rechargé pour l’instant c’est pour lui, on sait jamais et parce que je lui envois parfois (souvent/toujours) des messages. Le mois prochain les tarifs diminuent en attendant je sens que j’aurai du mal à tenir le mois avec ce qu’il reste même si je diminue.
Pourquoi j’envoi des messages ?
Parce que quand on déprime vraiment on aimerait que n’importe quoi nous tire de ça
Et si ça dure 1/4 de seconde c’est déjà ça
Il a dit qu’il passe pas mal de temps plus ou moins allongé à attendre. Cela je l’ai fait aussi. Quelques fois. Pleurant. Parfois des heures. Avant de sombrer dans un sommeil plus ou moins troublé ou avant de réussir à me foutre une claque mentale.
Avant ma défense était pas mal pour les claques mentales
Maintenant elle me permet juste de réfléchir et de me calmer un peu mais pas "contre ma volonté"
Tout cela pour dire que ceux qui disent de me protéger je les emmerde
Je devrais quoi ? Me protéger et le laisser dans sa misère en s’en fichant des conséquences ? Allez au diable ceux qui pensent ça !
Jamais
Jamais je ne l’abandonnerais
J’ai longuement réfléchi quand des fois j’avais mal suite à des conversations avec lui
Faut pas croire
Et toujours j’en vient à cette conclusion : il m’apporte un bien tellement immense que ces rares moments de perditions sont une aiguille dans une motte de foin. Et presque toujours ils ont des conséquences positives. Je dis presque parce que la peur que j’ai de le perdre ça c’est un peu douloureux et j’préfèrerai qu’il aille mieux.
Le seul commentaire positif que j’ai eu là-bas c’était sur le fait que la solution que je ne cesse de proposer c’est la fuite et que ça ça sert à rien. Et là ça m’a fait une claque positive et je me suis dit que putain il est fort de pas fuir. Mais je veux l’aider et je l’aiderais comme je peux. Mais j’ai compris ce côté fuite inutile.
Pour le reste, l’envoyer chez un psy ou le forcer à dire aux autres (bien que j’ai pas dit quoi) les raisons de son état… Mwarf pas convaincu. Les psys m’ont jamais aidé et bien sûr ça pourrait être utile mais vu les conseils que j’ai reçu j’ai un gros doute. Puis cela doit venir de lui. Mais j’ai ce doute et bref… on verra si vraiment nécessaire mais je le forcerai jamais. Quant à dire aux autres… Boaf, non. S’il veut le dire je le soutiendrait quitte à être auprès de lui. Mais je pense pas qu’il le dira. Evidemment ceux qui font du mal devraient payer mais à quel prix pour les victimes ? Comment il serait vu par les autres etc ? Je dis pas que je pense qu’il devrait garder ça pour lui, au contraire, mais je dis que je peux comprendre son silence. Puis s’pas facile à dire aussi. Puis des fois les gens comprennent pas. Certains pourraient penser qu’il ment. C’est déjà une de ses "douleurs" quant à la foi qu’un autre à en son mal être et ses "tentatives". Mais c’est un mioche et comme je dis c’est dur de voir en face une telle souffrance surtout quand on semble pas pouvoir aider. Bref ils s’arrangeront j’en suis certain mais faut du temps et faut qu’il tienne bon.
Fiou. Jamais écrit ainsi. Et là ça retombe vachement le côté "pas de masque, pas de censure"
Tout ça pour dire que j’emmerde ceux qui pensent qu’à moi. Ici c’est pas moi qui souffre le plus et j’m’en fous de souffrir pour ça si j’arrive à l’aider. Il mérite le bonheur et je me suis promis qu’en 1 an (donc avril prochain) il ira mieux. Si je me bats pour qu’il tienne le coup, s’il lutte, faut que ça en vaille la peine. Je ne veux pas qu’il souffre alors si je veux pas qu’il se suicide c’est parce que je pense qu’il peut connaitre le bonheur et qu’il peut s’en sortir. Sincèrement. Et je ferais tout pour ça. TOUT
Et je m’en fiche si au final s’il se passe qq chose j’en sors pas indemne.
Il est tout pour moi
Comment ça pourrait être autrement ?
Mais je me battrais pour que ça finisse bien
A deux on peut s’en sortir, à trois encore mieux mais le 3éme est bien jeune alors je pense qu’il peut aider avec sa bonne humeur quand il va mieux.
Mais jamais je n’abandonnerai
]]>
J’ai du mal à écrire.
Car écrire rend les choses concrètes.
Hier il est revenu on a parlé. Encore un conflit fut en partie une raison de son absence. Son mal être une autre.
C’est peut être absurde mais j’aimerai qu’il m’en parle avant à l’avenir. Je ne veux pas me retrouver face à un statut fb quand tout sera trop tard.
Oui j’ai la trouille.
Mais non je ne pense pas que c’est perdu.
Je lui ai dit si j’ai pas abandonné c’est que pour moi on peut s’en sortir.
Je dis on car j’ai conscience que je suis pas encore totalement sorti de ça.
C’est là le paradoxe.
On doit réussir à se tirer vers le haut et pas s’enfoncer.
J’ai du mal je vais pas le nier.
La peur me serre le cœur constamment.
Mais je sais que désormais
J’ai la force
De l’aider
Je ne sais pas comment par contre
Je peux pas le faire seul
Et lui il voit pas la fin
Mais à deux (ou trois obviously) on peut y arriver
Mais je sais qu’il va mal
Et j’aime pas ça
Car sans avoir la même vision des choses, on a tous notre façon de les voir, je sais ce que c’est d’avoir mal etc
Peut être pas le même mal
Mais la douleur psychologique est aussi douloureuse voire pire que la physique
Jusque maintenant il tient bon
Mais je vois bien qu’il n’est pas sûr de tenir
Après tout vendredi...
Bref
J’aimerai tant décamper aller là le protéger à jamais, le tirer de là, foutre le camp loin avec lui
Faudrait que je lui dise
En toute amitié
On aura du mal à tenir sans ça n’est ce pas ?
]]>Aujourd’hui l’examen à été moins dramatique que prévu. Une pique ou deux de la prof envers moi ne m’ont pas plu mais je me suis dit que ça me touchait pas et ça m’a pas touché. J’ai limité les dégâts de l’exam mais paradoxalement j’ai pas relu pour demain. Je ne sais pas, pas une seule once de motivation.
Sinon je déteste ma parano. Elle est vraiment..maladive. Vraiment. A son arrivée, pour une fois il n’a pas répondu de suite et j’imaginais -enfin mon inconscient car c’était pas contrôlable- un peu tout. Assassiné, suicidé, crise cardiaque. Même si je me disais qu’il se serait pas connecté dans ce cas mais j’imaginais qq de "proche" (hem...) qui n’osait pas dire que le pire était arrivé. Et j’avais si peur que j’en venais à le harceler, ce qui m’a évidemment valu un peu de foudre justifiée ensuite, mais ça n’a pas duré.
Mais ces peurs sont constantes, avec lui ou mes autres proches. Un peu de retard et j’épluche les infos, la peur au ventre. J’essaye évidemment de me dire que je suis idiot mais vois tu c’est pas facile car ce sont des pensées parasites. Comme toujours. Je suis bourré de pensées parasites comme un virus… Du coup évidemment j’ai du mal à réfléchir mais il ne faut pas s’en faire une excuse.
Et pourtant non je ne suis pas qu’un boulet. J’ai un côté sombre et mature que j’apprécie un peu mais je n’arrive pas à l’exprimer. Il est trop… différent. C’est mon moi intérieur. Evidemment je ne joue pas la comédie avec mon jumeau de coeur mais des fois j’ai envie d’être ce moi là, pas comme un idéal mais une question d’authenticité. Montrer que oui je suis adulte oui je réfléchi oui j’observe. Je pense qu’il le sait parfaitement. Je pense que c’est pour ça qu’il me pousse à répondre aux questions au lieu d’en reposer ou même à exprimer mes opinions. Mais ce n’est pas facile.
Bonne nuit mon double
Bonne nuit…
]]>
Et si on était vraiment liés ?
Si c’était possible ?
...
Ma niaiserie me surprendra toujours
Il est plus que l’heure de dormir
]]>BAM
J’ai rien foutu.
Quand je dis rien...
J’avais pas l’envie.
Les vacances ?
Un peu mon bouquin...ah oui tiens, j’ai enfin senti que c’était le moment de commencer ce projet et je le mènerai au bout.
Que dire.
On a failli perdre Milk. De peu. Non pas qu’il ait réussi à tenter. Juste qu’il a vraiment failli tenter. Il semble aller un peu mieux ces jours ci mais je reste aussi attentif que je peux. Longue histoire, trop longue pour s’y épiloguer puis on est encore trop au milieu de la tempête pour dire quoique ce soit là dessus.
Et si je voulais en parler ici j’aurai écrit avant. Comme penserait le perso de mon bouquin qui me ressemble.
J’ai rien foutu donc. Travail de groupe pour fin d’année ? OSEF Travail de groupe dont je suis pas au courant ? osef
Osef ?
...
Qu’est ce qu’ils veulent que j’dise ma foi
On peut rien foutre dans ce putain de monde sans diplôme
BAH les diplôme je les emmerde
Je les écoooooooooorche
Les trucide
Les crâme
Les… bref
Les bancs de l’école
Les commentaires
Non
La veille des vacs j’ai fais genre "oui je comprends j’vais me plier à votre putain de société pour être intégré"
La vérité ?
Mais fuck ! J’suis pas un mouton, jsuis crollé mais pas un mouton
La société je l’emmerde
J’veux pas m’plier à leurs fucking règles pour être comme eux
Je les déteste
J’veux pas être comme eux !
Ah y avait le rapport de stage (que j’ai pas fait) aussi… que j’ai pas fait.
Et la rédac de néerlandais, ça je la ferai quand même ptete
Et anglais une autre rédac… à voir...
Limite les rédacs
Non et puis le travail de groupe de fin d’année je dois le faire.
Sincèrement
Et je l’ai dit taleur sans le penser au préalable
"oui c’est tout à ton honneur de faire passer tes exams avant tes amis mais c’est une question de priorités et moi mes amis ils passent avant tout le reste"
Sérieusement
La fac, les études…
Il le faut
Parce que la société l’impose
Moi j’ai d’autres soucis en tête, et non je pense pas qu’à Milk, je pense aussi à mon cadet par exemple.
On m’autorisera pas de rater
C’est "comique" depuis que je connais Milk je dois tenir un discours similaire
J’veux pas ces études moi… enfin ça semblait pas si mal en début d’année, j’étais motivé
Puis désillusion comme d’hab
Ce que je voudrais ?
... Je pourrais pas le faire sans 3 ans d’études
Et limite ... tant pis
Oui c’est un but oui c’était un moteur
Mais ça fait déjà 4 ans que j’essaye d’avoir ces 3 ans
Que je stagne à l’année 1
Y a pas de fac pour faire ça
Pas en Belgique
Du coup...
Je sature
Toujours la même chose
Si je devais choisir ? "bah moi si je rates j’vais taffer, j’men fous dans quoi, je gagne du fric, je passe les exams pour être ---- quand y en a et je me décarcasse pour trouver le chemin de ce côté !"
Mais autant parler à un mur
Pourquoi j’en parle pas à Milk ? Il a bien d’autres soucis x) Puis sera toujours temps ... d’ici pas si longtemps.
Bon… film et dodo, on se remet un peu sur un horaire plausible
Dem soir un peu de famille que j’apprécie chez nous
et puis vaut mieux pas penser à la rentrée.
Soyons un peu en déni par rapport à la rentrée, autant se rendre malade que lundi /sbaff
]]>J’ai beau savoir que c’est une protection je m’y réfugie encore et encore, me pensant pas assez fort pour me débrouiller seul et d’un autre côté me disant que je ne devrais pas m’y réfugier autant… que ça pourrait être vu comme de la folie, avant de me dire que les humains perdus, en détresse ou souffrant se réfugient tous dans ce qu’ils peuvent. Certains dans l’indifférence, d’autres dans le travail, d’autres dans des drogues, d’autres en s’inventant des protections...des films si on préfère. Vive l’instinct de survie…
Et il me manque, sa présence me manque, lui parler me manque… mais je sais que je m’y raccrochais de trop. Et je lui en veux cette fois ci, réellement. Et cela m’attriste. Non pas que je le repousserai, non c’est mon ami et il le reste même si je désapprouve sa réaction, juste que ça ...j’ai pris ça comme un abandon soyons cash. Ok il n’est pas là pour être à ma disposition ou entendre toutes mes plaintes mais j’ai jamais prétendu ça. Ok c’est p-e un éloignement pour nous préserver, un raz-le-cul des conflits, un renfermement pour qu’on le laisse… bref ce genre de trucs. Je sais qu’il ne va pas bien mais le fait qu’il m’empêche de l’aider ça m’tue. OK il a pas besoin d’aide mais bon sang un ami se doit d’être présent quand ça va pas ET quand ça va bien, enfin ça c’est MON principe… Après la réciprocité...j’dis pas qu’il a pas aidé, il a énormément aidé etc...mais là...là. J’prends ça comme un abandon, un "jm’en tape de vous" hors j’ai le sentiment que c’est pas du tout ça… mais ça m’fatigue. C’est pas la première fois, jpensais que la fois d’avant était la dernière. J’pensais qu’il avait compris. Mais je ne juge pas...il a besoin d’air ma foi qu’il en prenne… mais je me sens lésé à mort cette fois ci. Cependant je lui accorde, je n’ai plus envoyé de mess ni rien et je ne le ferai pas je résisterai… t’façon ils ont été écrit en tant que ce qu’ils auraient ou pourraient être, tout y est. Le reste il le sait. Mais il me manque quand même, c’est idiot mais taleur j’me suis avoué en avoir été dépendant etc Je me disait "pourquoi il est pas là alors que ça va pas ?" c’est con, idiot mais sa présence m’apaise, il a de bons conseils et là...j’dois me démerder seul.
Pas plus mal ? Oui certes… Mais c’est pas une raison.
Quand je réfléchis par moi même je me rend compte que ça va pas si bien.
Que j’ai toujours pas digéré le décès de mon beau père. Que je culpabilise toujours pour le suicide de ma marraine. Que je me demande encore si à force d’être le bouc émissaire c’est pas ma faute, si je peux pas "tout foutre en l’air pour tout recommencer" que j’en ai marre des études etc. Que les foirer ne servirait à rien. Que je m’invente des films pour me rassurer.. Et bien d’autres.
Quand je réfléchis par moi même je finis toujours par verser quelques larmes, par me détester puis par repousser tout cela et me carapater dans ma protection rassurante.
Gentil. C’est la qualité qu’on me donne.
Eh bien la gentillesse je l’emmerde quand on me traite comme un chien. La gentillesse je l’emmerde quand je me retrouve à 21 ans à rien foutre… Mais je dis ça mais je suis encore trop gentil par nature pour faire quoique ce soit pour aller à l’encontre de ça. Fuck.
Comment exprimer l’humiliation ?
Ce sentiment de stupeur quand l’on comprends que cette fois ci je ne me faisais pas des films. Cette fois ci ma parano visait juste.
Que l’histoire ne cesse de se répéter.
Que c’est bien de moi que l’on parlait ainsi.
Deux heures. C’est le temps qu’à duré l’enfer.
A part des humiliations, des moqueries ouvertes, de la froide méchanceté, les seuls soutiens furent des "continue à lire" et je lisais ce putain de texte alors qu’autour de moi on se moquait ouvertement de moi. Et que des rires jaunes fusaient...même de la part de la prof.
Ce ne pouvait être vrai. C’était un cauchemar.
Et pourtant...
Ce n’était ni de la parano ni rien.
Et je me refuse d’en parler réellement à des proches. Du moins pas en détails.
Le marseillais et le breton (ainsi que la quebecoise) savent juste que je n’y retournerais pas.
Je n’ai pas détaillé si ce n’est avoir dit que je compte les dégommer aux examens.
A ce moment. En classe. En en sortant. Là il m’a terriblement manqué. Ces micros connexions à la ps3 ce w-e ont donc été étranges pour moi. Mais je le respecte, je me sens impuissant et j’ai tout dit dans mes messages… les mots sont vains donc je n’ai rien à ajouter. Quand il reviendra (et je l’espère qu’il reviendra ...et cela n’est pas en opposition avec le fait que je SAIS qu’il pourrait disparaitre à jamais… mais là je suis impuissant donc je me contente de dire ceci) une conversation s’imposera, pas comme d’habitude… Enfin je ne peux juger d’avance mais ma révolte générale si elle peut atteindre son paroxysme elle est utile à certains niveaux. Vitale même. Enfin soit.
Je n’irais plus en cours.
Je ne veux plus les voir.
Et ça va être un fucking défi de merde de réussir dans ces conditions.
Mais il faut que cette fois ci je les emmerde.
Ne pas aller en cours c’est p-e pas la meilleure façon.
Mais au moins une semaine. C’est con alors que je raccrochais.
Si je devais m’exprimer.
J’ai pas envie car si je laisse mes pensées parasiter cet état stable j’ai les larmes qui monte, le ventre qui se tord.
Mais il le faut.
Mais je veux pas.
Ô barrière ce n’est point aujourd’hui que tu cédera.
Y a bien pire que ça Y a la bombe atomique Y a bien pire que ça Y a la famine en Afrique… (c) Usul, JDG, etc
]]>Et la peur que mes cauchemars deviennent réalité"
]]>
Mais j’ai cette...force… Où ce côté ridiculement naïf qui fait que je me suis électrisé.
Je me suis interdit d’abandonner.
On abandonne jamais.
C’est la règle.
La première et la dernière des règles : on abandonne jamais.
Rien n’est perdu, rien n’est jamais perdu tant qu’on abandonne pas.
Et je n’abandonnerai pas.
Pourtant. Quelque chose s’est brisé.
Il est réellement comme mon jumeau.
Et je ne sais pas si sombrer avec lui est la solution.
Je ne pense pas, sincèrement.
Mais je sais que s’il sombre je risque de couler comme une pierre.
Mais alors qu’il n’est qu’en train de sombrer, alors… peut être saurais je trouver un moyen de lui montrer la surface, de le détacher de ses chaînes...
Mais cela me semble tellement utopiste.
Peut être trouverais je une bonbonne d’oxygène ? Le temps de sonder les profondeurs sans s’enfoncer trop profond ?
Je n’y crois plus totalement.
Hier, je suis resté un long moment debout, immobile… apathique… dévasté...
A cet instant j’ai compris que la vie ne fait et ne feras jamais de cadeau.
J’ai compris que fermer les yeux n’empêche pas de voir au final.
J’ai compris que je suis bien impuissant dans ce monde.
Même quand je me bats pour faire croire aux autres que tout ira bien, que tout fini toujours par s’arranger.
La vie et la mort sont jumelles, comme moi et mon véritable jumeau le somme. Vivant et mort. Un pied dans chaque monde.
Est ce que j’aime la vie ?
Sincèrement...non.
Est ce que j’aime la mort ?
Je la déteste.
Suis je content d’être en vie ?
Relativement, je le serai si j’arrive à l’empêcher de sombrer.
...Ce que je veux dire c’est que la vie ne fait pas de cadeau. Le temps se fiche de notre gueule. Et tôt ou tard tout le monde s’en rend compte, tout le monde souffre, tout le monde pleure. Certains font souffrir.
Cependant…
J’ai déjà petit voulu tuer, voulu me tuer aussi. Réellement.
Cela ne s’est finalement pas fait.
Je ne peux pas juger.
Je ne peux pas cautionner.
Il est comme mon jumeau.
On abandonne pas son jumeau.
Il en est qu’on se recroqueville, silencieux, avalant de l’eau glacée, sachant très bien qu’il ne faut pas savoir, il ne faut pas prétendre savoir. Il ne faut pas penser cela.
Qu’on ne saurait rien faire.
Qu’il est trop tard.
Que c’est fini.
Et encore une fois.
Encore une fois je crie intérieurement.
Encore une fois je ravale les pleurs.
Je cherche le peu de force qu’il me reste.
Et j’agrippe ce corps qui me semble sans vie et qui m’attire vers le fond.
Je regarde la surface qui me semble loin et je me dis sans le croire tout à fait qu’on peut l’atteindre.
Encore une fois je refuse le verdict.
On ne peut pas dire de quelqu’un qui est encore là et qui n’a pas encore fait de connerie, quelle qu’elle soit, que c’est fini, qu’il n’y a plus d’espoir.
On ne peux JAMAIS abandonner.
J’étais pas censé vivre moi.
Et je suis là.
Encore.
Je sais je sais...qu’il est déjà mort et… de plus en plus j’ai l’impression qu’il sombre de plus en plus profond dans cette eau gelée. Mais je ne peux me résoudre à le lâcher.
Calme. Silencieux. Le temps est las.
La glace s’est fendue, attiré par le fond je n’ai pas eu le réflexe de me débattre.
Et j’agrippe ce corps qui me semble sans vie et qui m’attire vers le fond.
Je regarde la surface qui me semble loin et je me dis sans le croire tout à fait qu’on peut l’atteindre.
Je ne l’abandonnerai jamais.
Je ne veux pas qu’il se supprime.
Je ne veux pas qu’il le supprime.
Mais quoiqu’il fasse je ne l’abandonnerai pas.
J’ai peur. Pour lui.
Peur des conséquences.
Peur que la situation se précipite.
Je le sais capable.
Je le sais.
Et je suis impuissant.
Sombre spectateur.
Beaucoup fuiraient.
Instinct de survie.
Mais il est comme mon jumeau.
On abandonne pas son jumeau.
En parlant de ça
Des fois il me fait penser que
Cette date ou les environs ça va être encore plus particulier
Cela me perturbe
Car quand j’y pense j’appréhende car je repense à ma marraine, à mon beau père...
J’espère qu’il sera là
Mais je ne peux pas lui imposer
Et s’il vient
La séparation nous a fait mal à tout deux
Alors des fois je me demande
Si c’est pas pour ça
"l’attente"
De plus en plus
Les sous entendus
Etc
1 mois et demi… C’est peu
Très peu
Surtout pour se faire comprendre sans le dire platement
Est ce que j’ai peur ?
Je ne sais pas
Je ne pense pas
Non
Non je n’ai pas peur
Je me demande
Je suis curieux
Je ne sais pas que dire xD
J’ai sous entendu que j’économisais au cas où
En partant sur le "délire" de la retraite
Mais j’économise réellement
Au cas où
...
C’est que j’ai encore 3 années d’études
J’ai pas envie d’être un poids
Hem
J’ai dit pas écrire sur des hypothèses
Les mots me manquent
Pour lui dire
Que je suis là
Que si besoin je veux aider !
Hmpf
Notez que si l’hypothèse se révèle
Même en la supposant
Jvais tomber le cul par terre comme on dit xD
Mais je veux aider si c’est vrai ><
Et si c’est pas vrai on verra
Mais tous ces sous entendus o_O
1 mois et demi
Bon
ok
j’appréhende un peu au cas où
Bref je refile sur skype
Parce que
Après l’éternité
Le temps semble court o_o
Concernant la classe...on verra bien en temps voulu. En attendant demain, inscription pour le violon *.* Et j’aurai ainsi une idée pour mes horaires…
Me réjouis que Milk se connecte juste pour lui parler èé /sbaff non mais il est juste trop adorable pour l’instant o_o mis à part ça je vais continuer à chercher une citation pour la signa d’un "nouveau perso" qu’il crée sur un autre fow (qui me tente pas, le fow xD)...nouveau perso… dont l’histoire me semble être un prétexte pour me faire comprendre que lui même ...enfin non j’ai dit pas écrire ces hypothèses ... c’est comme si l’écrire brisait le fait que ce soit possible. Quoiqu’il en soit j’aimerai trouver une phrase en réponse à cela, mais je doute qu’elle existe.
Parce que je comprends.... et je crois que moi aussi je suis anxieux… même sans que ce soit dit clairemen
]]>
Mais rien que les écrire je me sens forcer d’effacer, de peur de me faire de faux espoirs etc. Je n’ose pas faire des hypothèses etc concrètement, ailleurs que dans ma tête...
Mais si… Eh bah… C’est court o_O
Enfin pas que ce soit un problème
Mais dans un cas comme dans l’autre je flippe un peu
Car dans un cas comme dans l’autre eh bien
L’inconnu fait flipper x)
Mais ce n’est pas un problème
La peur ne doit plus être un problème
Et t’façon avec lui ce ne sera jamais un problème
Surtout que bon
De jour en jour
Je ne saurais expliquer
Mais
Je me dis des fois
Qu’on parle souvent (tout le temps ?) pour nous deux
Est ce que des amis font ça aussi souvent ?
Peu importe x)
Dodo time là :O
Et demain = lundi
donc préparer les papiers pour les inscriptions de mardi (fac/violon *.*)
Et étudier pour de bon ce théorique...pour mardi mdr
Oui le mardi va être ... fatigant x)
Bonne nuit
]]>